Des parents reprochaient à la grand-mère maternelle de leurs enfants son attitude vexatoire à leur égard.
Cette dernière dévalorisait et critiquait les choix de la mère. Estimant que ce comportement était contraire à l’intérêt de leurs enfants, les parents s’opposaient au droit de visite de la grand-mère. En vain.
La Cour d’appel et la Cour de cassation considèrent que, malgré ces critiques, la grand-mère a toujours fait preuve d’attention et d’affection envers les enfants.
Les juges décident donc de maintenir le droit de visite et de communication téléphonique à son profit (Cour de cassation, arrêt du 12 octobre 2017).